Il ne s’agit pas seulement d’édifier et de construire, mais surtout d’entretenir et d’opérer de la maintenance avec un calendrier établi à l’avance et scrupuleusement respecté. Nous parlons là de toutes ces infrastructures qui coûtent des centaines de millions de dinars et qui, faute d’entretien, tombent en décrépitude au bout de quelques années, voire quelques mois. Et cela sans compter le vandalisme qui est devenu un sport national. Il n’y a qu’à regarder autour de soi pour constater les dégâts…